RESUME :
Sora et Shiro sont deux frères et soeurs : le plus grand est sans emploi, la plus jeune, déscolarisée. Ils vivent ensemble confinés chez eux, en marge de la société. Sur Internet, on parle d’eux comme une véritable légende urbaine, au vu de leur talent aux jeux vidéo. Le monde réel, lui, n’est rien de plus qu’un « jeu pourri » pour la fratrie. Mais un beau jour, quelqu’un se surnommant « Dieu » les transporte soudainement dans un autre monde où tout serait déterminé par les jeux ! Ces deux rebuts de la société deviendront-ils les sauveurs de ce nouveau monde ?
CRITIQUE :
Après avoir vu le dessin animé, j’espérai la sortie un jour soit du manga soit du light novel, Ototo a répondu à mes attentes. C’est donc avec impatience que j’attendais la sortie de celui-ci. Évidemment je ne suis pas déçu, même si notre fratrie ne montre pas encore réellement ses capacités dans ce nouveau monde, puisque dans ce premier tome ils en apprennent les règles. Les prémisses identiques à celui de l’animé nous montrent des futurs tours de force inventifs. Il est vrai que ce n’est pas le premier isekai, qui est une sorte de mode actuellement, mais celui-ci sort son épingle du jeu avec ses seize races qui doivent se plier aux dix lois du Dieu. Adieu guerres et morts, tout et je dis bien tout doit être réglé par le jeu. J’ai donc hâte de lire le prochain tome. La série est toujours en cours au Japon et est publiée lentement, il faudra donc prendre son mal en patience, mais je pense sincèrement que cela vaut le coup.
Niveau dessin rien de surprenant, nous avons le même design que dans l’animé ce qui est tout à
fait agréable. Le découpage est très varié et très dynamique. Ototo nous fait même la surprise d’un
extrait d’histoire bonus tiré du light novel.
En bref No game no life est un manga très sympathique, si vous aimez les histoires où il faut plus de
cervelle que de bras, cette histoire est faite pour vous..
[Critique faite après lecture du premier tome.]
