RESUME :
Junk Dog, ou JD, jeune homme nonchalant et passionné par sa moto, prend part, pour survivre, à des matches truqués de Megalo Box,
cette boxe où chaque coup est décuplé par la puissance des machines. Toutefois, l’annonce de Megalonia, le championnat du monde de
Megalo Box, et sa rencontre avec Yuri, le grand champion de la discipline, vont bouleverser sa vie. Désormais, remonté à bloc, JD
va tout faire pour montrer qu’il excelle dans ce sport. Sang, métal et sueur se rencontrent dans une ascension vers la gloire !
CRITIQUE :
Un dessin animé pour les 50 ans de Ashita No Joe. On peut dire que Megalo Box lui rend parfaitement hommage tout en gardant son identité propre. Commençons par les similitudes : notre héros choisit le nom de Joe, son entraîneur, qu’il appelle également le vieux, est borgne tout comme Tanje de la série cinquantenaire. Ressemblance également entre Yuri et Rishiiki, de même pour Yukihiko Shirato et Shiraki Yôko. Nous avons 13 épisodes, nombre également de tomes pour Ashita no Joe. La série nous annonce à chaque épisode « pas encore mort » comme pour annoncer la fin connue de Ashita no Joe. Et encore plein de dialogues et autres qui nous ramènent à notre vieux boxer, mais pour autant la série à sa propre identité même si les bases sont les mêmes.
Nous sommes déjà dans un monde futuriste où les boxers ont des exosquelettes augmentant leur puissance. Technologie et l’homme ne font plus qu’un. Des enjeux économiques sont également de pair avec ces machines. Notre héros sera aux prises avec la pègre. Pour participer, il faudra qu’il se fasse de faux papiers étant sans identité. Tout ceci creuse d’autant plus le fossé entre les participants. Ce qui va pousser notre héros à se passer d’exosquelette. Quant au scénario de Megalo Box, je ne vous en dévoilerai pas plus.
L’animation est vraiment propre, le studio TMS entertainment nous a fait un superbe travail.
