RESUME :
L’expansion technologique n’a pas que du bon, au fil des années les êtres humains ont petit à petit transformé la planète en une immense décharge désertique. Il ne reste qu’un seul endroit habitable, la Mégalopole. C’est dans cette ville surdimensionnée que survivent les humains et robots, mais également d’autres créatures, connues sous le nom de Ersatz. Au milieu de cet enfer se trouve Misha, une orpheline qui reste à l’écart à cause de son don d’empathie qui lui permet de ressentir les émotions des personnes qui sont à proximité. Ce don a malgré tout du bon, car il lui a permis de trouver au milieu du désert un reborn, un robot morphing qui a perdu la mémoire
CRITIQUE : RYUDOKA
Le manga démarre très vite, mais nous met toute de suite à l’aise grâce à un découpage très varié et totalement maîtrisé.
L’autrice se permet ainsi de changer de type de découpage en fonction du rythme et de l’ambiance. Cela pourrait être totalement
déroutant, mais qui bien au contraire, permet de nous adapter très facilement au déroulement de l’histoire. Le dessin, quant à
lui, est tout simplement beau. Les cases ne sont pas surchargées, mais ne manquent pas de détails.
Malgré les connaissances de base assez complètes de l’univers énoncées au début, on se rend vite compte qu’elles sont obsolètes à la limite du préjugé et l’on apprend à connaître réellement ce monde en même temps que notre héroïne et ses amis. En effet, les Ersatz, considérés comme les ennemis de l’histoire dès le début, ne sont pas si mauvais qu’on le veut bien le croire. C’est une poignée d’entre eux qui donne cette mauvaise image. Est-ce pour autant la faute de la majorité restante ? Un univers post-apocalyptique mélangeant action, romance et mystère.
Vous l’aurez compris, une nouvelle histoire de science-fiction à dévorer.
CRITIQUE : DAWN OF DARKNESS
Cette série nous présente un monde que l’on peu qualifier de post-apocalyptique, sans pour autant qu’il n’y ai eu de catastrophe au terme où on l’entends habituellement : pas de guerre nucléaire ou de déluge, simplement la bêtise humaine qui ne fait que consommer et jeter.
Ce qui commence comme un Shônen de pure action se révèle finalement beaucoup plus profonds que cela. Chacun des personnages, qu’il soit du bon ou du mauvais côté présente bien évidement des forces, mais aussi des faiblesses avec lesquelles il a dû apprendre non seulement à vivre, mais surtout à survire. La communion entre Misha et son reborn, tout comme l’amitié qu’elle va créer avec d’autre survivant se révèle autant de forces qui vont leurs permettre de traverser les épreuves de ce monde hostile.
