RESUME :
En 1526, depuis près de 200 ans la dynastie Ming règne sur la Chine, mais le pays sombre dans le chaos. Un groupe de templiers nommé les Huits Tigres, dirigé par Zhang Yong en profite pour supprimer tous ceux qui se dressent entre lui et le pouvoir. Échappant à la mort, Shao Jun — la dernière assassine de la Confrérie chinoise — a fui en Europe auprès d’un mentor italien, Le grand Ezio Auditiore da Firenze. De retour, elle va prendre sa revanche contre ceux qui ont massacré son clan…

CRITIQUE :
Si vous êtes fan de l’univers d’Assassin’s Creed, vous l’aurez compris, ce manga se déroule après le dessin animé qui était avec la version collector d’Assassin’s Creed — Révélation qui mettait fin à l’histoire d’Ezio Auditiore da Firenze. D’ailleurs si vous le pouvez, je ne peux que vous conseiller de regarder ce métrage où nous rencontrions pour la première fois Shao Jun, la première assassine femme jouable de la saga.
Et la première chose à dire sur ce manga, c’est qu’il respecte son univers et complète l’histoire de la jeune femme. En effet, vous n’aurez pas que le récit de Jun, mais aussi celui de sa descendante Lisa. Bien évidemment Abstergo est de la partie. Bref, L’ADN que les fans connaissent est là. Comme je le disais, les codes sont respectés, mais surtout l’histoire est plus riche. On revient sur la même thématique qu’Ezio : la vengeance. Et l’on revoit même les techniques d’infiltration du jeu de plateforme, ce qui nous lie d’autant plus à la saga vidéo ludique.
Le dessin de Kurata Minoji est vraiment agréable et très clair, ce qui facilite la lecture bien évidemment. Le découpage lui est plus classique, mais ne souffre d’aucun manque, on suit l’action sans aucun problème.
En bref, fans d’Assassin’s Creed, ce manga est fait pour vous, mais pas seulement.